Prises de position de la FPJQ

La Fédération professionnelle des journalistes du Québec défend la liberté de presse et le droit public à l’information. Elle intervient chaque fois que la liberté de presse est menacée. Elle fait entendre la voix des journalistes partout où c’est nécessaire, dans les commissions parlementaires, devant le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC), dans les conseils municipaux, auprès des juges, de la police et des organismes publics dont les politiques de communication entravent le travail des journalistes.

« La FPJQ s’est battue pour la liberté de la presse. Elle est derrière nous tous les jours. Et elle doit le demeurer. C’est pour ça que j’ai ma carte. »

Antoine Trépanier

Journaliste à Radio-Canada Ottawa/Gatineau, arrêté le 13 mars 2018 pour harcèlement criminel alors qu'il tentait d’obtenir une entrevue avec une intervenante.


Voici les prises de position de la FPJQ.

COMPRESSIONS À LA PRESSE « Seule une intervention des gouvernements permettra de sauver nos médias d'information » -Stéphane Giroux, président de la FPJQ

À la suite de l'annonce, par la direction du quotidien La Presse, de l'abolition de 37 postes, la Fédération professionnelle des journalistes du Québec a fait connaître ses inquiétudes pour l'avenir de l'information.
 
Cette annonce est un autre signe de la maladie qui ronge la presse écrite au pays, selon le président de la FPJQ, Stéphane Giroux.  
 
« Ces suppressions d'emplois n'augurent rien de bon, encore une fois, pour le journalisme au Québec. La Presse, comme la plupart des journaux, souffre énormément de la baisse des ventes publicitaires au profit des géants du Web comme Google et Facebook, et seule une intervention des gouvernements va permettre de sauver nos médias d'information », a-t-il déclaré en entrevue.  
 
 
La plupart des postes seront rendus vacants à la suite de départs volontaires, selon plusieurs sources. La direction du quotidien rencontrait les employés jeudi matin à Montréal. 
 
La Presse avait déjà aboli 158 postes en septembre 2015, dont 43 à la rédaction et le quotidien avait cessé à ce moment son édition papier en semaine. En décembre 2017, le plus vieux quotidien francophone en Amérique mettait fin à son édition papier. 
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