Depuis janvier 2018, vous retrouvez chaque semaine, à la fin de votre lettre InfoFPJQ, sous la plume de journalistes et chroniqueurs bien connus, un point de vue ou une analyse sur l’actualité médiatique.
Évidemment, les propos tenus dans le billet n’engagent que leur auteur.
Par Jean-Benoît Nadeau
« Nouvelle Place », c’est le nom provisoire du projet de créer un média social québécois à but non lucratif, qui serait la nouvelle place publique numérique, et qui fait beaucoup jaser depuis que l’idée a été lancée dans Le Devoir en août 2023.
Cet éditorial a été publié initialement sur Avenues.ca
Alors que débute La semaine de la presse et des médias, qui durera jusqu’au 8 mai, il faut souligner le rôle fondamental des journalistes qui exercent un métier si mal compris, parfois honni, mais qui est pourtant un rouage essentiel des démocraties. À une époque où le Web et les réseaux sociaux donnent à n’importe qui le pouvoir de publier n’importe quoi, il faut aussi redire ce que font les vrais journalistes et ce qu’est une vraie information.
La guerre frappe, tue, déchire et torture des populations entières. Elle rase des villes, détruit des existences. Elle nourrit le désespoir, répand quotidiennement la peur. Mais pour que la guerre soit imagée, pour qu’elle soit racontée, il faut que quelqu’un se tienne derrière la caméra.
Quand j’étais plus jeune, je croyais que le métier le plus dangereux était celui de commis dans un dépanneur.
La transparence est primordiale pour assurer le maintien de la démocratie dans une société; c’est une vérité de la Palice ! Depuis près de deux ans, le décret sanitaire et le sillage de la COVID-19 sont venus cristalliser l’importance de la transparence en ce qui a trait à l’accès à l’information des organismes publics. Or, cet enjeu semble à nouveau relégué aux calendes grecques des priorités gouvernementales.
Dans l’essai « Covid-19, nos angles morts », publié dans le dernier numéro du Trente, Pierre Sormany reproche aux journalistes d’avoir endossé la cause de la santé publique depuis le début de la pandémie et d’avoir trop agi comme simple courroie de transmission des spécialistes.
Étudiant au certificat en journalisme à l'Université de Montréal et stagiaire à la FPJQ
« Je veux une femme, je veux une femme ! » Les yeux de Nancy Pelosi, présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, balaient la salle remplie de journalistes, elle veut s’assurer que la prochaine question viendra d’une femme. « Peut-être que je n’en veux pas », ajoute-t-elle lorsqu’elle constate que c’est Abby Martin qui se présente au micro.
Candidat au doctorat en communication à l'UQAM et membre de la FPJQ
Enquête sur l’aliénation et la souffrance au travail des journalistes québécois
Étudiante au diplôme d'études supérieures spécialisées (DESS) en journalisme de l’Université de Montréal et stagiaire à la FPJQ
Sans même le savoir, le lectorat de Québec Science a depuis quelques mois un avant-goût du journalisme de solutions avec le projet Métamorphose. La rédactrice en chef du magazine scientifique, Marie Lambert-Chan, avoue s’en être inspirée pour cette série d’articles axée sur les solutions et qui se veut une réflexion sur le Québec de l’après-COVID.
Professeur de journalisme, responsable du programme de journalisme à l'UQAM et membre de la FPJQ
La couverture des campagnes électorales se planifie souvent des mois à l’avance en raison des coûts astronomiques qu’elles entraînent. Ce sont les Jeux olympiques de la politique.
Que ce soit au fédéral, ou au Québec, les territoires à couvrir sont immenses pour les médias et nécessitent des avions et des autobus nolisés par les partis politiques. Et les médias paient les frais. Et on parle de gros sous ici.
Depuis 1969, la Fédération professionnelle des journalistes du Québec défend la liberté de la presse et le droit public à l’information.